Ennéagramme
Je respecte dans ma pratique, et j’adhère au code de déontologie définit par l’International Enneagram Association (IEA) en 1994, afin de conserver l’esprit de bienveillance de l’outil Ennéagramme et l’identité de chacun.
L’Ennéagramme est un instrument de connaissance de soi et de développement personnel. Etre conscient de nos motivations et de notre comportement nous aide à ne pas retomber dans le travers principal de notre type. La transformation nécessite le courage d’agir contre la structure et les habitudes de notre personnalité.
Nous pouvons être une source d’information et d’aide les uns pour les autres. La théorie du système est moins importante que de garder la communication ouverte entre les personnes.
Il est important de laisser chacun découvrir son type, à son rythme. Personne ne peut s’autoriser dire à l’autre qui il est, sans tomber dans le transfert, la projection ou l’interprétation.
Le type ne décrit pas entièrement une personne. Chacun a sa propre identité, son histoire, sa culture, son héritage ADN.
L’ennéagramme est aussi un outil de compassion. En comprenant les intentions et la logique des autres types, nous serons de moins en moins tentés de les juger, les critiquer.
- L’ennéagramme est en train de se développer. Beaucoup ont contribué au système, et beaucoup y contribueront.
- Personne ne possède l’ennéagramme. Restreindre son expansion est contraire à son esprit.
- L’Ennéagramme nous encourage à avancer sur un chemin de transformation et de croissance et nous invite à incarner notre chemin d’évolution.
- Un individu n’est pas un numéro.
- Une personne n’est pas enfermée dans un profil de comportement.
- Il n’y a pas de bon ni de mauvais type.
- Se reconnaître n’est pas si simple : même si les types de personnalité facilitent grandement la connaissance de l’autre, l’Homme reste d’une infinie richesse et variante.
- L’Ennéagramme n’est qu’un moyen : un tel système n’est qu’un moyen de se relier plus profondément à soi-même et aux autres. Même si l’outil permet de découvrir le type dominant d’une personne, ce qui importe c’est le cœur et l’âme de chacun, ce que nous sommes vraiment, au fond.
- Ne pas Intellectualiser le système : un système n’est qu’un système. L’Homme est vivant et multiple. Ceux qui ont beaucoup lu se croient très forts… Un livre ne peut pas transmettre les énergies, les émotions de chaque personne. L'Ennéagramme est une expérience à vivre en groupe dans la tradition orale.
Coaching
Je respecte dans ma pratique, et j’adhère au code de déontologie établie par la Société Française de coaching.
1 - Le coach :
- Exercice du coaching : Le coach s’autorise en conscience à exercer cette fonction à partir de sa formation, de son expérience.
- Confidentialité : Le coach s’astreint au secret professionnel
- Supervision établie : L’exercice professionnel du coaching nécessite une supervision. Le coach est tenu de disposer d’un lieu de supervision et d’y recourir à chaque fois que la situation l’exige.
- Respect des personnes : Conscient de sa position, le coach s’interdit d’exercer tout abus d’influence
- Obligation de moyens : Le coach prend tous les moyens propres à permettre, dans le cadre de la demande d’organisation, le développement professionnel et personnel du coaché, y compris en ayant recours si nécessaire à un confrère.
- Refus de prise en charge : Le coach peut refuser une intervention pour des raisons propres à l’organisation, au demandeur ou à lui-même.
2 - Le coach et le coaché :
- Lieu du coaching : Le coach se doit d’être attentif à la signification et aux effets du lieu de la séance de coaching.
- Responsabilité des décisions : Le coaching est une technique de développement professionnel et personnel. Le coach laisse par conséquent toute la responsabilité de ses décisions au coaché.
- Validation de la demande : Toute demande de coaching, lorsqu’il y a prise en charge par une organisation, répond à deux niveaux de demande : l’une formulée par l’organisation et l’autre par le coaché lui-même. Le coach valide la demande du coaché.
- Protection de la personne : Le coach adapte son intervention dans le respect des étapes de développement du coaché.
3 - Le coach et l'organisation
- Protection des organisations : Le coach est attentif au métier, à la culture, au contexte et aux contraintes de l’organisation pour laquelle il travaille
- Restitution au donneur d’ordre : Le coach ne peut rendre compte de son action au donneur d’ordre que dans les limites établies avec le coaché.
- Equilibre du système : Le coaching s’exerce dans la synthèse des intérêts du coaché et de son organisation.